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Rien ne sera plus pareil… – Alice NEVOSO

Il est des livres qui, sans grands effets de manche, parviennent à nous toucher en plein cœur. Rien ne sera plus pareil… fait partie de ceux-là.

Charlotte, 45 ans, divorcée, élève seule sa fille Juliette. Elle mène une vie calme, un peu terne, entre un travail qui ne la passionne pas et des blessures anciennes qu’elle garde soigneusement enfouies. Un dimanche d’hiver, alors qu’elle partage un moment complice avec sa meilleure amie Yasmine, le passé resurgit sous la forme inattendue d’un réparateur de four… Pedro.

Pedro, c’est l’ami d’enfance, le premier amour jamais avoué. Celui que Charlotte n’a jamais vraiment oublié, mais auquel elle refuse aujourd’hui d’ouvrir son cœur. Pourquoi ? Qu’est-ce qui, trente ans plus tard, la pousse encore à se protéger si farouchement ?

Ce roman alterne entre présent et souvenirs, entre confidences et silences. Charlotte se livre peu à peu à Yasmine, son amie précieuse et attentive, et nous embarque avec elle dans les méandres de son passé : une adolescence marquée par la solitude, une mère autoritaire et castratrice, des rêves artistiques abandonnés, et des amours déçus.

La force de ce roman réside dans sa douceur, sa justesse, et dans l’humanité de ses personnages. Charlotte, fragile mais résiliente. Yasmine, bienveillante et présente sans jamais être intrusive. Et Pedro, d’une tendresse et d’une patience rares, un véritable « green flag » littéraire.

J’ai été touchée par cette histoire de reconstruction, par ce combat intérieur qu’elle livre pour se permettre d’aimer à nouveau, pour s’autoriser à renouer avec la jeune fille passionnée de dessin qu’elle a été.

Alice Nevoso a une plume fluide, chaleureuse et poétique, capable de faire résonner des émotions universelles avec beaucoup de sensibilité. Elle aborde des thématiques fortes : l’amitié, la maternité, la création artistique, le poids du passé, la trahison, le harcèlement, l’amour adulte… mais aussi des sujets plus rarement évoqués comme la périménopause ou la difficulté de s’épanouir pleinement à la quarantaine.

Un roman lumineux, tendre et porteur d’espoir. Une bulle de douceur dans laquelle on entre pour quelques heures, mais dont les échos nous accompagnent longtemps.

Une très belle lecture que je vous recommande si vous aimez les récits introspectifs, les histoires de renaissance et les personnages profondément humains.

ÉDITEUR : LIBRINOVA  ISBN : 978B0FCSQSFQW PARUTION : 11/06/25   NOMBRES DE PAGES : 333 GENRE : FEEL GOOD   NOTE : 5/5

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Je déterre des galères (et parfois des trésors) – Ysaline BIRKLE

Un roman feel-good à l’humour décapant, qui creuse au-delà des apparences…

Léna avait prévu une vie pépère : râler sur tout, manger de la glace, et s’abrutir devant des documentaires d’archéologie. Mais son quotidien bascule le jour où un buzz TikTok la propulse dans une série de mésaventures improbables. Au programme : un job bancal, une cavale un peu flippante, un archéologue sorti d’un film d’action, et une chasse au trésor qui n’a rien de tranquille. Et si, au fond, cette quête extérieure cachait surtout une recherche intérieure ?

Un style percutant et une héroïne à contre-courant

Ce roman est une pépite d’ironie et de légèreté, porté par une plume fluide, vive, et pleine d’esprit. Ysaline Birklé maîtrise à merveille l’art du comique de situation, tout en construisant une héroïne terriblement humaine. Léna, c’est cette trentenaire un peu paumée, qui donne l’impression de rater sa vie… mais qui, à sa manière, avance quand même. Dépassée par les réseaux sociaux, les codes, les attentes familiales, elle tente de reprendre le contrôle — ou du moins de se laisser porter vers quelque chose de plus vrai.

Humour absurde et profondeur inattendue

Sous des dehors légers et farfelus, l’autrice distille des réflexions justes et sincères : comment trouver sa place dans une société obsédée par l’image ? Comment apprendre à se connaître au milieu du bruit et des injonctions ? Léna expérimente l’échec, la fuite, la remise en question… et en ressort grandie. Certaines phrases marquent par leur lucidité :

« La vie, ce n’est pas ce qui nous arrive. C’est ce qu’on en fait. »
« Parfois fuir, ce n’est pas fuir. C’est partir à la rencontre de soi-même. »

Ce roman explore avec intelligence les travers de notre époque : l’addiction aux écrans, le diktat de l’apparence, l’envie de reconnaissance facile. Mais il le fait avec humour, légèreté et sans jugement. C’est ce ton désinvolte, presque insolent, qui rend la lecture aussi plaisante. On suit Léna comme on suivrait une copine en plein craquage existentiel, entre rires, facepalms, et moments d’émotion inattendus.

En bref

✔ Un roman court, rythmé, drôle, mais étonnamment profond
✔ Une héroïne imparfaite mais attachante
✔ Une satire tendre et juste de notre société hyperconnectée
✔ Une écriture fluide, pleine de peps et de réflexions bien dosées
✔ Un feel-good qui sort des sentiers battus

À lire si vous aimez : les récits de quête de soi décalés, les héroïnes qui n’ont pas peur du ridicule, les lectures qui font rire tout en touchant quelque chose d’essentiel.

Je déterre des galères (et parfois des trésors) est une belle surprise, à mi-chemin entre comédie contemporaine et introspection douce-amère. Une lecture rapide mais marquante, qui nous rappelle que parfois, les plus belles trouvailles naissent de nos pires plantages.

ÉDITEUR : AUTO-EDITION  ISBN : 978B0F3DZ4L41 PARUTION : 01/04/25   NOMBRES DE PAGES : 164 GENRE : FEEL GOOD   NOTE : 4.5/5

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Changer la pluie – Oriane LONGUEVILLE

Une lecture bouleversante sous le ciel australien.

Et si fuir très loin pouvait parfois nous rapprocher de nous-mêmes ?

Avec Changer la pluie, Oriane Longueville nous offre un roman d’une rare intensité émotionnelle, qui aborde avec justesse et sensibilité les thématiques du deuil, de la dépression et surtout, de la résilience.

Un véritable coup de cœur littéraire pour moi.

Dès les premières pages, j’ai été emportée par la plume délicate de l’autrice, par la beauté des mots et l’authenticité des émotions. On suit Kylian, un jeune homme brisé qui, pour tenter d’oublier le drame qui a bouleversé sa vie, décide de tout quitter et de s’exiler en Australie. Ce road trip imprévu dans l’Outback devient rapidement bien plus qu’un simple voyage : il s’agit d’un chemin intérieur, d’une lente reconstruction, d’une possible renaissance.

Ce qui m’a profondément touchée, c’est la manière dont Oriane Longueville capte la douleur silencieuse, la solitude, mais aussi les petites étincelles d’espoir. À travers des paysages arides, des rencontres inattendues, et des moments d’introspection, Kylian avance, maladroitement, douloureusement, vers une forme de guérison.

Les flash-backs, insérés avec une grande fluidité, dévoilent peu à peu les contours du drame. Ce va-et-vient entre présent et passé m’a tenue en haleine, tout en apportant une densité émotionnelle poignante à l’histoire.

J’ai également beaucoup apprécié que le personnage principal soit un homme. C’est encore assez rare dans ce type de roman intimiste, et cela donne un éclairage particulier sur la manière dont chacun peut vivre et exprimer le deuil. Kylian est un personnage fort dans sa vulnérabilité, auquel on ne peut que s’attacher.

La dernière partie du livre m’a littéralement bouleversée. Un électrochoc. J’ai refermé ce roman les yeux embués, le cœur serré, avec cette impression étrange d’avoir voyagé moi aussi à travers l’Outback, d’avoir senti la pluie tomber sur la tôle d’un van, et d’avoir accompagné Kylian dans chacune de ses blessures.

Oriane Longueville signe ici un roman d’une grande humanité, empreint de fragilité et de pudeur, mais aussi de lumière. Écrire sur le deuil n’est jamais facile, et pourtant, elle y parvient avec une justesse bouleversante. C’est un texte qui résonne profondément, qui touche l’âme, et dont on ressort changé.

En résumé :

Changer la pluie, c’est un récit fort, humain, sincère.
C’est l’histoire d’un jeune homme en fuite qui, sous les cieux australiens, finit par rencontrer ce qu’il fuyait : lui-même.
C’est une ode à la reconstruction, à la capacité de se relever malgré tout.
Un roman qui ne se lit pas, mais qui se vit, et dont on ressort transformé.

ÉDITEUR : AUTO-EDITION  ISBN : 9798314214350 PARUTION : 23/05/25   NOMBRES DE PAGES : 198 GENRE : FEEL GOOD   NOTE : 5/5

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Comme un léger parfum de réglisse – Jocelyne BACQUET

Il est des livres qui ne cherchent pas à impressionner, mais simplement à toucher le cœur. Comme un léger parfum de réglisse de Jocelyne Bacquet fait partie de ces trésors discrets, remplis de douceur et de sincérité. Dans ce recueil de 23 nouvelles, l’autrice nous ouvre les portes de son enfance, entre rires, bêtises, émotions furtives et souvenirs tendres. Des instants de vie simples, mais universels, dans lesquels chacun peut se reconnaître. C’est dans le cadre d’un partenariat que j’ai découvert ce joli ouvrage, et je suis heureuse aujourd’hui de vous en parler plus en détail.

Un retour en enfance tout en douceur

Il y a des lectures qui font du bien. Qui nous enveloppent comme un plaid un soir d’automne, ou comme une odeur de gâteau chaud dans la cuisine d’une grand-mère. Petites bulles de souvenirs, recueil de nouvelles signé Jocelyne Bacquet, fait partie de celles-là.

Composé de 23 textes courts, ce livre est une véritable parenthèse enchantée. L’autrice y partage avec tendresse et authenticité des fragments de son enfance, ces instants fugaces qui ont laissé une trace indélébile dans sa mémoire — et dans la nôtre. Chacun de ces récits agit comme une madeleine de Proust : un mot, une scène, un objet, et nous voilà transportés, le cœur serré et le sourire aux lèvres, dans notre propre passé.

J’ai été profondément touchée par la justesse de ces souvenirs, à la fois simples et universels. On s’y reconnaît, on y retrouve des sensations oubliées, des moments partagés avec nos aïeux, des rires d’enfants, des émotions brutes et sincères. Certaines nouvelles m’ont vraiment marquée, notamment Les stylos neufs, Être malade un jour d’école ou encore Le bruit du train qui passe. Ces titres à eux seuls réveillent des images, des sons, des odeurs…

Ce recueil, c’est aussi un hymne à la lenteur, à la magie de l’instant, à une époque où l’on savait encore prendre le temps. Un monde sans écrans, où l’on construisait des cabanes, écrivait avec des stylos plume, observait le monde depuis la fenêtre, rêvait en regardant passer un train. Un monde qui peut sembler lointain mais qui résonne encore en nous.

Et que dire de la couverture ? Elle est l’œuvre de Laure, la fille de l’autrice. Une douce aquarelle fleurie, nostalgique à souhait, qui m’a immédiatement fait penser au retour des coquelicots dans nos paysages. Ces fleurs si délicates et éclatantes que l’on croyait disparues et qui, aujourd’hui, réapparaissent ici ou là comme un clin d’œil du passé. À l’image de ces souvenirs que ce livre nous aide à préserver.

Avec Comme un léger parfum de réglisse, Jocelyne Bacquet signe un recueil tendre, lumineux, profondément humain. Une lecture rapide mais marquante, à picorer ou à savourer d’un trait, qui nous invite à rouvrir la porte de notre propre enfance.

Une lecture à offrir, à s’offrir, et à relire dès qu’on a besoin de se reconnecter à la beauté des choses simples.

ÉDITEUR : AFNIL  ISBN : 9782494286375  PARUTION : 15/04/2025  NOMBRES DE PAGES : 180   GENRE : RECUEIL DE NOUVELLES NOTE : 5/5

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Les endeuillés anonymes T.1 Tori – Joanie FRIGAU

Un roman sensible sur le deuil sous toutes ses formes

Dans Les Endeuillés Anonymes, Joanie Frigau nous propose une approche originale et nuancée du deuil, loin des clichés attendus. Tori, le personnage principal, n’a pas perdu un être cher, mais ressent un manque profond, une impression de vide qui la ronge. Sa thérapeute lui suggère alors de rejoindre un groupe de parole un peu particulier : Les Endeuillés Anonymes. Mais ici, il ne s’agit pas seulement de faire le deuil d’une personne disparue, mais aussi de situations, d’illusions, de rêves brisés. Et c’est ce qui rend cette lecture aussi captivante que poignante.

Un récit fort en émotions

Dès les premières pages, on ressent une immersion immédiate dans l’intériorité de Tori, souvent envahie par ses pensées et ses émotions. Son parcours psychologique est au cœur du roman : accepter la perte, se recentrer sur elle-même et, surtout, apprendre à vivre selon ses propres désirs plutôt que selon les attentes des autres.

La plume de Joanie Frigau alterne avec justesse entre humour et gravité. Les dialogues sont naturels, les personnages profondément humains. J’ai particulièrement apprécié la fille de Tori, Sasha, une adolescente pleine de vie et de sincérité, qui insuffle une énergie lumineuse au récit. Son amour inconditionnel pour sa mère est un véritable baume au cœur.

Un roman introspectif avant tout

Si vous cherchez un roman rempli de rebondissements, ce n’est pas ici que vous le trouverez. Les Endeuillés Anonymes est avant tout une réflexion sur le développement personnel, sur le poids du regard des autres et sur la nécessité de s’affranchir des injonctions familiales et sociales. Le dévoilement du secret de famille, censé être un tournant, m’a semblé un peu trop attendu, manquant de l’effet de surprise que j’espérais. Mais au-delà de cette intrigue, ce sont les échanges entre les personnages, leurs blessures et leurs résiliences qui font la richesse de ce récit.

Un livre pour ceux qui aiment les romans introspectifs et inspirants

En toute honnêteté, je n’aurais pas spontanément choisi un livre sur le deuil, et pourtant, j’ai été agréablement surprise par cette lecture. Elle permet de mieux comprendre les différentes facettes du deuil et d’en relativiser l’impact. Si vous êtes en quête d’un roman qui fait réfléchir, qui apporte du réconfort et qui, malgré tout, se lit avec fluidité et légèreté, Les Endeuillés Anonymes est fait pour vous.

Un roman à conseiller aux amateurs de récits introspectifs, aux curieux du développement personnel et à ceux qui aiment les histoires humaines empreintes d’émotions sincères. Reste à voir comment l’histoire évoluera dans le prochain tome, car la dernière ligne laisse entrevoir une suite que l’on a envie de découvrir sans tarder !

ÉDITEUR : AUTO EDITION  ISBN : 978B0D5BZLXPV  PARUTION : 22/06/2024  NOMBRES DE PAGES : 254  GENRE : FEEL GOOD NOTE : 4.5/5

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Fucking quarantaine – Laura WILHELM

Quand la vie nous rattrape !

Presque vingt ans de mariage, deux ados à gérer, une carrière bien remplie… Maëlla semble avoir tout pour être heureuse. Mais a-t-elle seulement pris le temps de s’écouter ? Entre charge mentale écrasante et remise en question brutale, elle va devoir faire face à une réalité qu’elle n’avait pas anticipée. Son mariage résistera-t-il à cette tempête ? Et surtout, retrouvera-t-elle la femme qu’elle était avant de s’oublier dans les responsabilités du quotidien ?

Une lecture immersive et percutante

J’ai dévoré Fucking Quarantaine en une seule traite ! Laura Wilhelm signe un roman criant de vérité, où chacune de nous peut se retrouver à travers Maëlla. Femme active, épouse, mère… elle jongle avec les rôles sans jamais penser à elle, jusqu’au jour où tout bascule. Ce roman illustre avec justesse cette période charnière où les doutes s’invitent et où l’équilibre fragile de la vie peut vaciller à tout moment.

Des personnages profondément humains

Le point fort du livre ? Sa galerie de personnages réalistes et attachants. Maëlla, c’est cette femme à qui l’on s’identifie sans même s’en rendre compte. On partage ses joies, ses frustrations, ses peurs… et on voudrait parfois la secouer en lui disant : « Stop, pense à toi ! »

Et puis, il y a les autres : ceux qui nous font sourire, ceux qui nous agacent et ceux qu’on aimerait secouer un bon coup ! L’autrice maîtrise l’art de brosser des personnalités nuancées, ancrées dans le réel, ce qui rend l’histoire encore plus prenante.

Une écriture fluide et authentique

Laura Wilhelm possède une plume vive et sans fioritures, qui capte parfaitement l’essence de la vie quotidienne. Elle alterne avec brio moments légers et instants plus profonds, sans jamais tomber dans le pathos. Résultat : on tourne les pages sans s’arrêter, totalement immergé dans l’histoire de Maëlla.

Un roman qui résonne

Fucking Quarantaine aborde des thématiques universelles : la routine du couple, les doutes professionnels, la charge mentale, la tromperie, le harcèlement… Autant de sujets qui résonnent en chacun de nous et qui font de ce livre bien plus qu’un simple roman : un miroir de la réalité.

Mon avis final

Un roman à la fois touchant, drôle et percutant, porté par une héroïne attachante et une écriture fluide. Si vous cherchez une lecture qui fait réfléchir tout en divertissant, Fucking Quarantaine est fait pour vous.

Alors, êtes-vous prêt(e) à plonger dans cette crise de la quarantaine ?

ÉDITEUR : SUDARENES  ISBN : 978B0D3FT4BGD PARUTION : 06/05/24  NOMBRES DE PAGES : 316  GENRE : FEEL GOOD NOTE : 5/5

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Sous les moustaches d’Eustache – Ecoffet MSCARLETT

Imaginez : une geek trentenaire fraîchement larguée, une bande d’amis hauts en couleur, un meilleur ami qui semble ne rien comprendre à ses propres sentiments, et… un chat ! Mais pas n’importe quel chat. Eustache, 16 ans, roux, sarcastique et incroyablement perspicace, devient le narrateur indispensable de cette comédie romantique.

Dans ce roman, on suit Maxine, 35 ans, qui pensait que Noah, son petit ami, allait enfin la demander en mariage. Résultat ? Elle se fait larguer comme une vieille chaussette. Entre larmes, remise en question et sarcasmes bien sentis de son chat, Maxine va devoir apprendre à se relever, à se redécouvrir, et surtout à ouvrir les yeux sur ce (ou celui) qui était peut-être là depuis le début…

Ce que j’ai adoré dans cette lecture :

  • Eustache, un narrateur unique et hilarant : Qui d’autre qu’un chat pour analyser les drames humains avec autant de sarcasme et de clairvoyance ? Ses réflexions m’ont fait sourire tout au long du livre.
  • Un concentré de feel good : Résilience, nouveaux départs, amitié, amour… Ce roman donne envie de croire en la vie et en ses surprises, même après des coups durs.
  • Des personnages ultra attachants : Maxine, un mélange de vulnérabilité et de force, et sa bande d’amis bienveillante forment un groupe dont on rêve de faire partie. Mention spéciale pour Rafael, le meilleur ami, qui m’a beaucoup touchée.
  • Des références pop culture à gogo : Si vous êtes un enfant des années 90, vous allez adorer les clins d’œil à notre génération.

En résumé : Une lecture fluide, drôle et réconfortante qui plaira à tous les amateurs de comédies romantiques et aux amoureux des chats (parce qu’on sait tous qu’ils ont un avis sur tout, comme Eustache).

Et vous, vos compagnons à quatre pattes vous aident-ils à remettre les pendules à l’heure ?

À lire absolument si vous aimez :

  • Les comédies romantiques pleines d’humour.
  • Les histoires de résilience et de nouveaux départs.
  • Les narrateurs originaux qui sortent de l’ordinaire.

ÉDITEUR : SUDARENE  ISBN :  978238572117 PARUTION : 10/07/24    NOMBRES DE PAGES : 336 GENRE : FEEL GOOD NOTE : 5/5